Les enfants qui vivent dans des ménages à faible revenu sont plus vulnérables aux effets des changements climatiques.

Par exemple, ils sont moins susceptibles d’avoir accès à de la climatisation, à des piscines ou à des installations de loisirs où l’air est conditionné pendant les périodes de chaleur extrême¹.

Ils sont en outre plus susceptibles de partager de plus petits logements avec un plus grand nombre de personnes, ce qui contribue à un espace de vie plus chaud.

De plus, des logements de moins bonne qualité sont plus à risque d’être endommagés lors d’événements climatiques, comme les fortes pluies qui peuvent causer des inondations et le développement de moisissures.

Les familles qui vivent dans ces maisons peuvent avoir des difficultés à surmonter ces épreuves et à trouver l’argent nécessaire pour réparer les dommages.

¹O. Nugent, A Primer on Climate Change and Human Health, Pollution Probe, 2004. http://www.pollutionprobe.org/publications/primer-on-climate-change-and-human-health – consulté le 24 juillet 2017 [en anglais seulement].