Pourcentage de mères/dispensatrices de soins et de pères/dispensateurs de soins d’enfants des Premières Nations de moins de 11 ans, selon la situation d’emploi, Canada, 2013-2015
Source : Graphique de l’ICSI créé à l’aide des données adaptées de C’est maintenant le temps : nos données, nos histoires, notre avenir – Rapport national de l’Enquête régionale sur la petite enfance, l’éducation et l’emploi chez les Premières Nations du Centre de gouvernance de l’information des Premières Nations, 2016. http://fnigc.ca/sites/default/files/docs/fnigc_fnreees_national_report_2016_en_final_28072016_0.pdf – [en anglais seulement] (consulté le 25 août 2017).
Entre 2013 et 2015, 41,1 % des mères/dispensatrices de soins et 60,9 % des pères/dispensateurs de soins d’enfants des Premières Nations de moins 11 ans étaient employés à temps plein ou à temps partiel.
59 % des mères/dispensatrices de soins et 39,1 % des pères/dispensateurs de soins étaient sans emploi.
Parmi les mères/dispensatrices de soins sans emploi, 73,6 % demeuraient à la maison, 9,7 % étaient à la recherche d’un emploi, 9,2 % étaient aux études et 2 % étaient en congé de maternité1.
En ce qui concerne les pères/dispensateurs de soins sans emploi, 39 % demeuraient à la maison, 30,1 % étaient à la recherche d’un emploi et 12 2 % ont indiqué occuper un emploi saisonnier1.
1Centre de gouvernance de l’information des Premières Nations, C’est maintenant le temps : nos données, nos histoires, notre avenir – Rapport national de l’Enquête régionale sur la petite enfance, l’éducation et l’emploi chez les Premières Nations, 2016.
http://fnigc.ca/sites/default/files/docs/fnigc_fnreees_national_report_2016_en_final_28072016_0.pdf – [en anglais seulement] (consulté le 25 août 2017).
Signification
Les mères/dispensatrices de soins sont le plus souvent celles qui fournissent les principaux soins aux enfants. Elles sont plus susceptibles de faire le choix de ne pas travailler ou d’occuper un emploi seulement à temps partiel, en raison de leurs responsabilités à l’égard des enfants. Dans ce contexte, le faible taux d’emploi à temps plein et le manque de perspectives d’emploi pour les pères/dispensateurs de soins des Premières Nations sont particulièrement préoccupants, le chômage étant associé à la pauvreté, à l’insécurité alimentaire et à des problèmes de santé mentale.