Membres de la collectivité qui contribuent à aider les enfants des Premières Nations de trois à cinq ans vivant dans les réserves à comprendre leur culture, comme indiqué par les principaux pourvoyeurs de soins, Canada, 2008-2010

Source : Graphique créé par l’ICSI à l’aide de données adaptées du Rapport national sur les adultes, les adolescents et les enfants qui vivent dans les communautés des Premières Nations de l’Enquête régionale sur la santé des Premières Nations (ERS) 2008 2010. http://fnigc.ca/sites/default/files/docs/rhs_phase_2_2008_2010_fr_final_0.pdf — (consulté le 2 août 2017).

Entre 2008 et 2010, plus de 40 % des principaux pourvoyeurs de soins des enfants des Premières Nations de trois à cinq ans ont indiqué que les enseignants contribuaient de façon importante à la compréhension de la culture par les enfants. L’engagement des enseignants auprès des enfants de six à huit ans et de neuf à onze ans était encore plus élevé.

On a aussi déterminé que les aînés des collectivités aidaient les enfants à comprendre leur culture – pour 23,6 % des enfants de trois à cinq ans; 29,6 % des enfants de six à huit ans et 26,3 % des enfants de neuf à onze ans1.

1Rapport national sur les adultes, les adolescents et les enfants qui vivent dans les communautés des Premières Nations de l’Enquête régionale sur la santé des Premières Nations (ERS) 2008-2010. http://fnigc.ca/sites/default/files/docs/rhs_phase_2_2008_2010_fr_final_0.pdf – (consulté le 2 août 2017).

Signification

Pour construire une culture identitaire positive chez les enfants autochtones, il faudra pouvoir compter sur les forces collectives des enseignants, des familles, des amis et des collectivités. Chacune de ces entités a le pouvoir d’exercer une influence qui peut contribuer à atténuer les risques auxquels les enfants autochtones sont exposés et à développer leur résilience.