Évaluation de la collectivité par les parents ou tuteurs d’enfants inuits de moins de six ans, excluant les réserves, Canada, 2006

Nota :
Les pourcentages pourraient ne pas totaliser 100 étant donné que les réponses « Ne sais pas », « Refus » et « Non déclaré » ont été incluses dans le calcul de toutes les estimations et à cause de l’arrondissement des chiffres.
« Non déclaré » comprend les réponses « Non déclaré », « Ne sais pas » et « Refus ».
C’est la personne la mieux renseignée (PMR) qui a répondu aux questions.

Source : Graphique créé par l’ICSI à l’aide de données adaptées de Statistique Canada, Enquête sur les enfants autochtones, 2006.
http://www.statcan.gc.ca/pub/89-634-x/2008005/t/6000039-fra.htm – (consulté le 22 août 2017).

En 2006, lorsqu’on a demandé aux parents ou aux tuteurs d’enfants de moins de six ans de juger leur collectivité, 45 % ont répondu que leur évaluation des écoles, des garderies éducatives et des programmes d’éducation préscolaires était « excellente » ou « très bonne ».

Quarante-trois pour cent évaluaient la sécurité de leur collectivité comme étant « excellente » ou « très bonne » et 37 % étaient du même avis en ce qui a trait à leurs établissements de santé.

La disponibilité des installations pour les enfants, comme les centres communautaires, a reçu une évaluation « excellente » ou « très bonne » de la part de 34 % des personnes qui s’occupent des enfants, alors que 35 % étaient d’avis que les activités culturelles offertes aux enfants de moins de six ans étaient « passables » ou « mauvaises ».

Signification

Les collectivités autochtones, plus particulièrement dans les régions rurales et éloignées, manquent souvent d’infrastructures qui contribuent à la santé, au bien-être, à la survie culturelle et à la qualité de vie des personnes et des collectivités. L’accès à la santé, à l’activité physique, aux loisirs, à la culture, aux programmes éducatifs et aux services est essentiel pour promouvoir la santé et aborder les enjeux sociaux qui existent dans plusieurs collectivités autochtones. La participation aux programmes et aux activités communautaires peut contribuer au renforcement de l’estime de soi et des compétences et des traits nécessaires qui favorisent la résilience individuelle et collective.