Indicateur de la qualité de l’air pour l’ozone troposphérique relativement aux Normes canadiennes de la qualité de l’air ambiant de 2015, Canada, de 2000 à 2014

Remarque :
Entre le milieu des années 2000 et 2014, on a progressivement installé de nouveaux instruments de surveillance des particules fines partout au Canada pour remplacer l’ancien matériel. Les nouveaux instruments permettent de mesurer une portion de la masse (semi-volatile) de particules fines qui ne l’était pas auparavant. En raison des différences entre les anciens et les nouveaux instruments de surveillance, les concentrations mesurées avec les instruments pourraient ne pas être directement comparables aux mesures relevées au cours d’années où l’on a utilisé d’anciens instruments.

Source : Le graphique de l’ICSI a été créé avec des données qui ont été adaptées du document Indicateurs canadiens de durabilité de l’environnement : Qualité de l’air, Environnement et Changement climatique Canada, 2016. https://www.ec.gc.ca/indicateurs-indicators/7DCC2250-A982-4286-B466-70681EBC994B/AirQuality_FR.pdf – consulté le 12 mars 2017.

Il existe un certain nombre de polluants qui peuvent causer une mauvaise qualité de l’air : l’ozone troposphérique (O3), les oxydes de soufre (SOx), les oxydes d’azote (NOx), les composés organiques volatils (COV) et les particules solides et liquides appelées matières particulaires ou particules fines (PM2,5)1.

Le smog est principalement composé d’ozone troposphérique (O3) et de matières particulaires (PM2,5). Ces polluants peuvent causer des problèmes de santé et des effets néfastes sur l’environnement1.

Le Canada a établi des normes pour la qualité de l’air. Un des indicateurs de la qualité de l’air qui est surveillé au Canada est l’ozone troposphérique, concentration de pointe (4e plus élevée) sur 8 heures. Cet indicateur est basé sur la quatrième valeur annuelle la plus élevée des maximums quotidiens des concentrations moyennes sur 8 heures, pour tenir compte des expositions immédiates ou aiguës à court terme1.

La valeur de cet indicateur se situait sous les Normes de 2008 à 2014. En 2014, la valeur de pointe de l’ozone troposphérique était de 14 % sous les normes de 2015.

Signification

L’exposition à l’ozone a été liée à un certain nombre de problèmes de santé, notamment les décès prématurés, l’asthme et les hospitalisations causées par des maladies respiratoires1.

1Environnement et Changement climatique Canada, Indicateurs canadiens de durabilité de l’environnement : Qualité de l’air, 2016. https://www.ec.gc.ca/indicateurs-indicators/7DCC2250-A982-4286-B466-70681EBC994B/AirQuality_FR.pdf – consulté le 12 mars 2017.